dimanche 18 juillet 2010

There he goes again

Dsl pour les petites erreurs. J'en ai manqué des bouts dans les dernières games. Et dsl aussi pour le petit paragraphe de frustration. Je pensais pouvoir m'en sortir cette fois-ci, mais non. ^^

1er au 2 septembre

Finalement, cette idée de brûler la grange était juste une idée sortie comme ça. Tant mieux, sinon je m’y serais opposée totalement. Nous avons élaboré tous ensemble des idées : faire des barricades, avoir des sceaux d’eau bénite, restés groupés, faire des bénédictions. Je suis allée parler au pasteur pour lui demander de bénir nos armes. Il a accepté. Je ne sais pas si ça pouvait donner quelque chose, mais comme un des monstres avait eu l’air de ne pas aimer le chapelet de William…

Finalement, notre plan a été de faire des barricades et des feux autour de l’église et de nous positionner au niveau des ouvertures. Je suis allée dormir et puis j’ai reconduit Uvi dans l’église avant d’aller à ma place. J’ai pris une torche et j’ai commencé tout de suite à chanter. Vers minuit, l’attaque a commencé. Je suis restée sagement à l’arrière à chanter jusqu’à ce que j’entende du bruit de verre brisé qui venait de l’église. Merde! Uvi!!

Je n’avais pas le temps d’avertir les autres alors j’ai fait demi-tour vers l’église. J’ai escaladé la barricade pour pouvoir me rendre sur le côté de la bâtisse. Au deuxième essai, j’ai réussi à défoncer une fenêtre et à entrer. Ça puait le sang à plein nez. 6 ou 7 monstres étaient en train de massacrer les paysans, qui étaient tassés dans un coin. Mon ami n’était visible nulle part.

Je ne pouvais rien faire pour les paysans, parce que si la folie me prenait de demander aux créatures d’arrêter leur massacre ou si, encore pire, je devenais cinglée au point de m’attaquer à eux, j’allais me retrouver dans la même position que tous ces cadavres autour de moi. Ma priorité était de retrouver Uvi, pas de perdre ma vie pour sauver des gens qui étaient condamnés d’avance.

J’ai commencé à me rapprocher en restant cachée derrière les bancs. Pendant que j’avançais, j’ai entendu une fenêtre défoncer. C’était Lena. Elle est entrée pour péter la gueule aux monstres, mais elle s’est écrasée par terre en hurlant de douleur.

Les monstres sont partis sans s’occuper d’elle. Je n’ai pas compris pourquoi, mais c’était tant mieux pour moi. J’ai été plutôt égoïste : au lieu d’aller aider Lena, j’ai continué à chercher Uvi. Je l’ai trouvé parmi les cadavres, totalement intact, mais inconscient. Comme j’étais rassurée de son état, j’ai décidé d’aider les blessés, mais Henryk est venu me voir et m’a demandé de le suivre dehors. J’ai aidé Uvi à sortir et j’ai suivi Henryk. Étienne s’est occupé des jambes cassées de Lena et moi j’ai aidé James à soigner William, qui était inconscient.

(J’étais très fatiguée, alors j’en ai perdu des gros bouts à ce moment-là de la game, d’où le fait que c’est très résumé.) J’ai appris qu’un chasseur de vampires était venu en ville. Nous avons tous reçu chapelets, pieux et croix pour pouvoir nous défendre lors de la prochaine attaque. Une minute… Chasseur…? De vampires…? Vous êtes en train de me dire que ces créatures existent vraiment? Moi je pensais que c’étaient des légendes. Ça c’est génial. Nous allons devoir nous battre contre des monstres de légende qui sont très rapides et très forts. C’est très positif pour nos chances de survie. Nous sommes tous allés dormir et le soir venu, nous nous sommes retrouvés devant l’église.

2 au 3 septembre

Nous avons eu la surprise de voir arriver les enfants qui s’étaient fait kidnapper la nuit passée. Puis nous avons aperçu, à travers le brouillard, d’autres silhouettes s’avancer vers nous. L’homme aux cheveux noirs qui avait l’air d’être leur chef s’est approché de nous. J’étais persuadée qu’ils étaient tous des vampires. Je n’avais aucune preuve, mais l’homme aux cheveux noirs était beaucoup trop louche pour ne pas en être un et sa proposition était un peu trop suspecte à mon goût.

Il a proposé de protéger le village en échange de 5 ou 6 travailleurs. Nous sommes retournés voir les villageois, qui voulaient avoir des précisions sur la proposition. Les travailleurs iraient vivre chez lui pour le restant de leurs vies, en tant que serviteurs. Il habitait à quatre jours d’ici et les travailleurs pourraient retourner voir leur famille s’ils le désiraient.

J’ai fait signe aux autres de s’éloigner avec moi. J’étais certaine que le gars était un vampire. Il était beaucoup trop suspect pour être normal. Mais comme je n’avais pas de preuve, je voulais faire un test. J’ai pris une croix et je suis retournée voir l’homme louche. Je voulais lui mettre en plein visage, mais j’ai été prise d’une soudaine envie de frapper Étienne avec. Après, j’ai voulu prendre mon chapelet pour le mettre sur sa tête, mais je l’ai mis sur la tête d’Étienne à la place. Henryk a voulu me le prendre, mais j’ai refusé de lui donner. C’est mon chapelet!

Et quand il s’est approché trop près, je me suis jetée sur lui pour l’empêcher. Et puis quand James s’est mis à courir, je me suis mise à crier et je l’ai suivi. Et tout à coup… nous étions à l’extérieur de la ville, Beloss à côté de nous. Euh… Qu’est-ce que nous faisons ici? James ne s’en souvenais pas non plus. Nous nous posions de sérieuses questions, mais nous avons dû arrêter quand nous avons entendu des cris venant de la ville. Nous y sommes donc retournés.

J’ai attaqué le premier vampire que j’ai vu et… WTF?! Un spike de glace est sorti de terre et a tué le vampire. WTF?! Ça sort d’où? Je n’ai pas été la seule à avoir ce genre de… problème : il y a eu une grosse explosion de feu et un phénix s’est formé autour d’Étienne et il s’est envolé… mais Étienne n’est pas redescendu. Euh, Étienne?

J’ai aidé à éteindre le feu et j’ai trouvé un enfant qui pleurait sur le corps de sa mère. Le pauvre petit faisait tellement pitié que je l’ai pris dans mes bras et je lui ai promis de trouver quelqu’un qui pourrait aider sa mère. Il s’est agrippé à mon cou et il m’a mordue. J’ai essayé de le décrocher, mais il était trop bien agrippé. J’ai eu besoin de l’aide d’Henryk pour l’enlever. Le petit criss. Oui, ta mère est morte! Et toi aussi! Henryk s’en est occupé et nous avons retrouvé les autres.

En plus de ses jambes, Lena avait un poignet cassé. Beloss était plus que prêt à se charger de l’arranger, mais il n’avait pas les connaissances pour le faire. J’ai expliqué comment le faire, mais il a fait plus de dommages qu’autre chose. Il m’a demandé de faire quelque chose avant que Lena ne se régénère, mais j’ai refusé. Je ne sais pas pourquoi. Peut-être parce que Lena n’avait vraiment pas l’air d’avoir envie de se faire toucher, mais peut-être aussi parce que c’était Beloss qui me l’avait demandé. Je ne veux rien faire pour lui, peu importe les circonstances.

Il a encore une fois prouvé son immaturité et s’est frustré contre moi, m’accusant de parler d’esprit d’équipe un moment et d’ensuite refuser d’aider et après il est allé bouder dans son coin. Esprit d’équipe? Tu oses me parler d’esprit d’équipe? Tu veux qu’on parle du tien?! De toutes les fois où tu n’as pensé qu’à toi-même? De toutes les fois où ton égoïsme profond et incurable nous a mis dans la merde? Et aussi du fait que beaucoup des merdes que nous avons eues sont arrivées à cause de toi et que jamais, jamais, tu n’apprends? Je suis désolée, je me suis laissée emporter. Mais quand je pense à Beloss je suis incapable de ne pas me fâcher et surtout de ne pas me laisser envahir par des envies de meurtre très intenses.

Il ne restait plus personne de vivant en ville à part le pasteur, et il voulait rester pour s’occuper des villageois. Nous sommes donc partis et à la sortie de la ville, il y avait un homme qui nous attendait : c’était le chasseur de vampire. Beloss est allé à sa rencontre et l’homme lui a tranché la paume de la main et il lui a ensuite serrée. Euh… Hein? Beloss a mentionné quelque chose à propos de réparer ses erreurs. Oh non… Qu’est-ce que tu as encore fait?